VIADUC DE ROCHEROLLES
C'est un pont-rail permettant le franchissement de la Gartempe (1er niveau : pont / 2eme niveau : voie de chemin de fer). Il a été construit par la Compagnie du Paris-Orléans de 1852 à 1854 en pierres taillées (granit) prisent sur place. Il mesure 54,60 m de haut, 187 m de long et se compose de 12 arches sur 2 niveaux. Jusqu'à 2 000 ouvriers des environs et d’autres nationalités (Belges, Italiens) y ont travaillé.
Lors de sa mise en service, en 1856, il est considéré comme le plus haut pont de France.
Aujourd'hui, il est notamment emprunté par les trains Paris - Toulouse, via la section Châteauroux - Limoges.
Crédit photo : OT Monts du Limousin
DOLMEN DES GOUDOURS - CLUZEAU
Il est constitué d'une table sur 3 piliers de 5 m. de long, 2,80 m. de large qui pèse environ 20 tonnes. Une autre dalle de 6 m. de long pèse 25 tonnes. Sa chambre légèrement allongée de forme trapézoïdale est longue de 5,50 m. et d’une largeur interne de 2,60 m. Il a été fouillé en 2003 et restauré en 2006. Chaque pierre nouvelle dans la construction de la chambre est marquée par une pastille en laiton scellée dans la masse et estampillée de la date 2006. De nombreuses trouvailles (perles, pierres taillées...) sont au musée de la prehistoire aux Eyzies, en Dordogne.
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Crédit photo : OT Monts du Limousin
LAC DU PONT-A-L'AGE
Le lac du Pont à l’Âge se distingue par sa forme sinueuse provoquée par un relief accusé. Son tracé dessine un « serpent d’eau» que souligne la texture boisée des versants. Le paysage du lac se dévoile par séquences : au détour de chaque méandre se succèdent des scènes pittoresques, où l’eau occupe une place centrale et changeante. Le lac est un site inscrit et protégé. Il fut créé en 1972 par les communes de Laurière et de Folles. Il a une superficie de 49 hectares et possède une grande richesse floristique et faunistique.
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EGLISE SAINT-BLAISE
L’église fut construite au XIIIeme siècle et dédiée à Saint-Blaise, évêque arménien du IVe siècle (patron des cardeurs car dépecé en 316 avec des peignes de fer). Pendant la guerre de Cent Ans, elle fut en grande majorité détruite par les Anglais et une partie de ce qui restait fut réintroduit dans le nouvel édifice en 1490. Ce fut le cas pour le portail à 3 voussures et les chapiteaux empruntant leur ornementation au monde animal. Le clocher fut reconstruit au dehors de cette nouvelle église, c’est pourquoi on ne voit les détails qu’après avoir franchi la première porte. A l’intérieur : fonts baptismaux en granit avec date gravée qui indique qu’ils ont été réalisés par un tailleur de pierre nommé Martin en 1684 ; statue en bois doré d’une Vierge à l’Enfant du XVIIeme siècle ; 2 panneaux sculptés du XVIeme siècle probablement en bois de noyer.
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